lundi 31 janvier 2011

Bon OK,  la présentation est moche, mais je débute, alors scusez
              Le grand tribunal des hommes est avancé.
              Un dénommé Dieu évaporé dans les lobes de l'histoire 
              est activement recherché pour fabrication de 
              crédibilité universelle et aliénation mentale.
              Le grand tribunal des hommes est avancé,
              pour la recherche de la vérité, demain seront arrêtés
              Dieu et ses prophètes habiles à manipuler et autres messagers
              du mensonge. La seule sentence sera exemplaire : ordre sera donné
              de ne plus professer sur ce qui n'est pas prouvé.
              Seul le soleil aura droit de cité, débarrassé de balivernes inventées.





 Vert, vert, loin de l'hiver
  dans les courants d'air
   vivent les éphémères








Culture, agriculture, rimes des champs,
complexité des céréales poussées sur l'épandage des meilleurs fumiers.... 
Vive la cité


Je n'en peux plus de lire les chagrins d'amour pathétiques, les relents d'attente et le mot souffrance, rien ne vaut mieux que soi-même et les hommes que l'on aime ne sont que
des pièces rapportées facile à détacher. Laissez Kotine au placard sous la pile de mouchards ; il suffit de douleurs éperdues, d'attentes impromptues, de cris d'agonie et
fureurs d'impuissance ; assez pleuré femmes, debout, à vos lèvres pâmées, partez chaque matin la rosée d'une nouvelle journée..............



Freud disait que l'enfant qui joue est comme l'écrivain qui arrange le monde à la façon qu'il lui plait. Il me plait d'être l'enfant qui joue en écrivant que le sérieux n'est pas la réalité.









Les dernières vibrations de nous baissent la garde.
L'absence du jour prend les allures d'une eau dormante,
les bruissements de soi rendent au silence les tiraillements de l'âme,
arrive le règne du vide et de l'ennui
Les yeux se ferment comme la liberté qui s'enfuit 

 

Les paroles s'envolent mais les cris restent...........

 Quant le papier peint se refait tendance cachant le bruit des murs,
trouées du temps, moisissures et autres fleurs du passé, 
papiers rayés, intissés cramoisis de serments d'hypocrites,
alors les murs se lissent cachotiers et reniement d'être.
Les murs se taguent du style victorien austère auquel j'aspire à la toile du jouir.......


 Du bout de la langue, lavez moi partout,
enlevez les traces du mal de nous,
du bout de vos doigts,
lissez sur mon cou la sève qui nous tient debout.
A vous, à qui je ne saurais mieux dire,
à vous que j'espère à genoux,
respirez encore la chaleur de mes joues,
ce feu qui ne vient que de vous....
Mamour, ma mie,
sans vous je ne suis qu'un dO sans appui.   Dimanche 7 novembre 2010



 
J'ai cherché l'homme pour écrire sur sa peau mes douleurs éperdues, mes fureurs d'impuissance et mes cris d'agonies, mais il n'a rien compris, ne m'a pas entendu. Je n'ai plus qu'à sécher mes larmes dans la nuit en attendant l'espoir du matin.

Peut être finalement, que tout recommence,
 la vie étant un quai de gare, fait d'arrivée et de départ.
Un train part, un train arrive, accrochez la locomotive, direction blog alternative......